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Lycée Carnot

Débouchés - témoignages

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Débouchés

Après une école de commerce, on ne fait pas que du commerce ! Les possibilités de carrière sont nombreuses et variées. Le graphique suivant présente un bon résumé des différentes fonctions dans une entreprise.

En dehors de la recherche et développement, nos anciens élèves travaillent dans tous ces domaines :

Mais la formation économique et commerciale peut aussi conduire à bien d’autres métiers : l’enseignement, le journalisme (Robin est journaliste à l’AFP), l’humanitaire (Sonja est responsable de mission chez Handicap International), les métiers de la culture (Claire Marine est coordinatrice générale du festival de cinéma des Arcs, Célestine est assistante de production au festival d’art lyrique d’Aix en provence), etc.

Comme on peut le voir, nos anciens élèves travaillent dans des entreprises très variées : des banques, des grands groupes internationaux, mais aussi des PME ou des start-up. Beaucoup de nos anciens élèves travaillent en région parisienne, mais ils sont également nombreux à avoir trouvé un travail en Bourgogne-Franche Comté.

Enfin, beaucoup de jeunes diplômés commencent leur carrière à l’étranger. Certains reviendront en France après leur expérience internationale, d’autres y ont fait leur vie. Ainsi, Fabienne, Anne-Lise, Aurélien et bien d’autres travaillent à New-York, Adèle, Alexis, Danislava, Clothilde sont à Londres, Charlène, Alexandre, Blandine travaillent à Genève, Justine est à Madrid, Mégane à San Francisco, Julien travaille à Johannesburg, Delphine est à Singapour, Julien vit en Argentine, Jean travaille à l’ouverture d’une usine d’assemblage de vélos pour Decathlon en Russie, etc.

Témoignages

Voici quelques témoignages d’anciens étudiants de la prépa économique et commerciale du lycée Carnot. Ils permettent d’illustrer la diversité des parcours possibles après les deux années de prépa.

Chloé Urcissin - promotion 2015

« Never give up », voici la citation qui était accrochée dans mon appartement à Dijon pendant mes deux années de classe préparatoire. Deux années extraordinaires ou le mot « capacité » prend tout son sens. Notre capacité intellectuelle est à son apogée et je souhaite à tout le monde de connaitre cette sensation. Je ne regrette pas une seule minute, une seule seconde mon passage à Carnot. J’ai évolué au sein de ce lycée ou, malgré les programmes chargés, les cours intenses chacun peut s’exprimer et devenir quelqu’un ! « Never give up » exprime d’une certaine manière ce que nous inculque la classe prépa : avoir confiance en soi, être déterminer, croire en ses choix, oser l’impossible avant tout ! Quand je passe devant Carnot, j’ai cette sensation inexplicable d’avoir fait quelque chose de bien, je me rappelle alors les rencontres magiques avec les élèves et les professeurs.
Je suis aujourd’hui à ICN Business School sur le campus de Nancy. Avec la création du nouveau Campus ARTEM, ICN développe des valeurs modernes et ambitieuses. Elle propose des spécialités variées ou chacun peut trouver sa vocation. Personnellement je souhaite rejoindre un double diplôme en négociation internationale et par la suite travailler dans le monde du vin. Je viens de terminer ma première année qui a été rythmée par une multitude de cours très différents : Comptabilité, analyse financière, management, créativité, etc… et par une vie associative intense. Je pars prochainement au Chili pour un séjour universitaire qui promet d’être merveilleux !

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Sara Fadil - promotion 2012

Un baccalauréat ES au lycée français à Casablanca, au Maroc et deux années de classes préparatoires ECE pour se donner le temps de réfléchir. Deux années de dur labeur (mais pour cela vous êtes prévenus !) deux années d’émotions, de belles rencontres, de professeurs bienveillants et finalement de bons souvenirs (pour cela un peu moins, hein ?). Puis, une école de commerce, Néoma à Reims, celle qui me semble la plus généraliste avec son parcours à la carte, me donnant encore ce luxe de la réflexion. Une première année où je découvre les différentes fonctions en entreprise et, finalement, je ne ferai mon choix qu’à la suite d’un premier stage en marketing au sein des Laboratoires Dermatologiques d’Uriage.
J’apprends beaucoup dans un secteur où le marketing ne fait que servir la rigueur du discours scientifique, les produits sont efficaces par essence parce qu’ils soignent avant de rendre beau. Ensuite, ce sera à Milan que je ferai mon échange au sein d’une université qui m’offrira l’opportunité de découvrir les maisons de Luxe italiennes, des plus classiques au plus avant-gardistes, dans le cadre d’un Master spécialisé en Mode et Design. Six mois plus tard, je vais apprendre à comprendre les enjeux de la conquête de l’Afrique et de son milliard de consommateurs potentiel par les grands groupes, je vais étudier le cheveu ethnique au sein de la Zone Afrique Moyen-Orient du groupe L’Oréal. Cette fois-ci le marketing sera très opérationnel et très stratégique.
Enfin, un stage au sein de la Maison Chanel pour explorer l’univers du Luxe dans sa quintessence. Une approche du marketing encore très différente de tout ce que j’ai pu voir auparavant : une stratégie de très long terme et un capital de marque sans égal. Rien de tout cela ne serait aussi vrai aujourd’hui.
Aujourd’hui, plus qu’hier, je ne peux que m’enorgueillir d’avoir fait le choix des classes préparatoires. Des classes préparatoires au lycée Carnot de Dijon.

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Clara Combernoux - promotion 2012

J’ai choisi de m’orienter vers une Prépa Hec S au lycée Carnot Dijon après un bac S obtenu à Carnot également. Principalement car j’appréciais les matières enseignées (importance des deux langues vivantes, et bon équilibre scientifique-littéraire).
J’ai intégré l’Escp Europe sur concours Prépa après deux ans. L’école, située à Paris dans le 11ème arrondissement m’a permis de partir deux mois au Pérou en mission humanitaire, un semestre d’étude à Berlin, régulièrement en montagne grâce à une association de trekking, et de participer à des associations caritatives sur Paris (aide aux sans abris notamment).
Côté professionnel, j’ai effectué trois stages de 6 mois dont deux passionnants en usine agro-alimentaire qui ont été un vrai déclic en terme d’orientation.
Je valide actuellement mon master 2 à Centrale Paris grâce à un super partenariat d’échange ingénieur-commerce dans le but de trouver du boulot sur site industriel ensuite.

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Quentin Goussard - promotion 2011

Après deux années très enrichissantes passées en prépa ECS au lycée Carnot, j’ai intégré Rouen Business School, qui n’était pas encore NEOMA. Outre la variété des programmes et des débouchés et les innombrables joies de la vie extrascolaire, le principal avantage des écoles de commerce, est, à mon avis, la flexibilité et le développement de la capacité d’adaptation.
Non, les écoles de commerce ne forment pas des clones identiques. Il y a autant de parcours que d’étudiants. Personnellement, j’ai choisi le parcours Audit/Expertise Comptable. Je n’ai pas fait d’échange universitaire, mais j’ai choisi de réaliser un stage de 6 mois à Genève en contrôle de gestion, puis de réaliser un stage de 3 mois en cabinet d’expertise-comptable. J’ai d’ailleurs été embauché par le cabinet dans lequel j’ai réalisé ce stage 9 mois avant ma sortie d’école et plus d’un an avant d’être diplômé.

Après ce parcours, environ 90% des étudiants s’orientent vers l’audit, mais j’ai préféré l’expertise-comptable pour la dimension de conseil plus que de contrôle. Concrètement, en tant que collaborateur expertise-comptable, je réalise des bilans et liasses fiscales, des déclarations fiscales et sociales et des bulletins de paie. Cependant, ce qui me plait le plus, c’est d’être régulièrement en contact avec les clients, et de pouvoir leur fournir des conseils et trouver des solutions à leurs problématiques. Le chemin pour être expert-comptable diplômé est encore long, puisqu’il me reste 2 UV à obtenir (celles pour lesquelles ni l’école ni la faculté ne peuvent fournir d’équivalence) et 3 années de stage d’expertise-comptable que je vais débuter l’année prochaine, avant de pouvoir passer la soutenance finale.

Le seul conseil que je pourrais donner, c’est de toujours rester honnête avec soi-même et de ne pas avoir peur de suivre le parcours qui nous correspond.

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Jean Foras - promotion 2006

Je suis entré en prépa ECE au lycée Carnot en 2006, deux années exceptionnelles. Humainement, c’est à Carnot que j’ai rencontré mes meilleurs amis. Scolairement c’est en prépa qu’on se structure pour notre future vie professionnelle, par exemple en deux ans, j’ai réussi à combler mes grosses lacunes en langues, compétence indispensable pour pouvoir prétendre à une carrière à l’international.

Puis, j’ai intégré l’EDHEC qui propose des parcours à la carte. Ainsi, sachant ce que je voulais faire (des achats dans l’industrie), après 3 semestres à Lille je suis parti en apprentissage en tant qu’acheteur industriel pour le groupe LAFARGE à Paris. Deux années pendant lesquelles on se familiarise avec le monde de l’entreprise, ses codes et où l’on comprend ce qu’on attend de nous. Tout au long de ce parcours, l’EDHEC nous suit, nous aidant dans notre recherche, nous coachant, nous donnant des cours où l’on vient chercher des réponses à nos problèmes professionnels et nous envoyant chaque été en université à l’étranger pour nous ouvrir sur le monde.

Septembre 2011, grâce à un parcours cohérent et malgré la crise économique, 4 mois avant la fin de mon apprentissage, DECATHLON me propose un VIE (Volontariat International à l’Etranger) en Supply-Chain à Moscou (Russie). Ma formation m’aide à réussir mes débuts, ainsi je suis récompensé : à l’issue de mon VIE, DECATHLON me propose de continuer l’expérience en Russie en tant que Supply-chain Manager pour une mission de deux ans. Celle-ci se terminant en 2015, la direction me propose un nouveau challenge. DECATHLON veut expérimenter le management vertical : je prends donc en charge un projet centré sur le vélo : l’ouverture d’une chaine d’assemblage de vélos en Russie, la gestion de la marque BTWIN (marketing, achats, communication, e-commerce …) et l’animation d’un responsable de rayon cycles en magasin.

Cette voie (classe préparatoire puis école de commerce) ouvre tellement de porte qu’il ne faut pas avoir peur de l’emprunter, d’être ambitieux et persévérer afin d’arriver où l’on a envie d’être et faire un métier qui nous plait.

 

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